C’est aussi un appareil qui produit un rayonnement spatialement et temporellement cohérent.
Nous sommes dans une période de transition et de réajustement.
Le monde médical prend progressivement conscience, que tout est fréquences.
Et un nouveau mode de fonctionnement est en train de voir le jour.
La médecine qui se dit « quantique », par exemple, mesure les fréquences et les renvoie pour traiter le patient.
Ma première rencontre
Elle date d’une trentaine d’années, période où je donnais des cours dans une Ecole d’ Ostéopathie dans le sud de la France.
Il m’a été présenté une personne qui avait perdue la vision d’un œil, suite à l’utilisation d’un appareil laser par un dentiste.
La formation de mon confrère à l’utilisation de cet appareil laser, s’était limité à la lecture du mode d’emploi de ‘appareil :
° en cas d’abcès : utilisez le bouton A
° en cas de douleur : utilisez le bouton B.
Son patient avait une douleur dentaire, mon confrère a donc utilisé le bouton B, qui a effectivement diminué sa douleur. Mais comme il restait une douleur résiduelle, il a poursuivi, et à un moment donné les problèmes de diminution de vision ont commencés, jusqu’à la perte totale de la vue d’un œil.
Par la suite,
je me suis fait prêter un laser d’une autre marque.
Et j’ai constaté qu’un faisant un bilan kirlian (enregistrement des énergies) avant et après l’utilisation, il avait toujours une « information de mort » sur le cliché.
Sa localisation sur le corps variait en fonction de la dent que j’avais traitée.
De ce fait, je n’ai pas poussé l’expérimentation plus loin, et j’ai arrêté de me servir de l’appareil laser.
Par contre, suite à cette expérience, j’ai été sensibilité à cette problématique.
Mon conseil :
Si votre dentiste, votre chirurgien, ou votre ophtalmologiste doivent se servir d’un laser pour une intervention, même bénigne (opération de la cataracte par exemple), prenez 1/3 d’une dose d’Arsenicum album 200 K, avant et après l’intervention pour éviter que le laser impacte votre corps de cette information de mort.